La possibilité d’insérer des liens externes dans vos documents est une fonctionnalité clé de l’édition numérique. Pour de nombreux créateurs de contenu, l’augmentation du nombre clics sur leurs liens est un objectif important. Le taux de clics (CTR) d’un lien vous indiquera le pourcentage du nombre total de lecteurs qui ont cliqué sur ce lien. Quelles sont donc les actions que vous pouvez effectuer rapidement pour augmenter le CTR dans vos publications numériques ?
Insérez des liens
La première étape pour booster votre CTR est très simple : ajoutez des liens externes dans vos publications. Vous pouvez insérer des liens très facilement grâce à notre Editor une fois votre document chargé dans Calaméo. Si vous préférez inclure directement des liens dans votre document d’origine, assurez-vous de les formater correctement et ils seront automatiquement convertis dans votre publication.
Pensez au mobile
Saviez-vous que plus de 50% des internautes du monde entier naviguent sur leurs téléphones ? C’est vrai—et cela signifie que vous devez toujours vérifier l’apparence de vos liens sur mobile. Grâce à notre liseuse HTML5, vos publications sur Calaméo s’affichent toujours parfaitement sur tous les appareils. Par exemple, cette page de Longo’s Magazine est impeccable sur un smartphone, y compris ses liens externes et ses vidéos.
Pour garantir les meilleurs résultats, nous vous recommandons toujours d’ouvrir votre publication sur votre téléphone et de tester les liens. Vous pouvez alors personnaliser vos liens afin de les optimiser pour mobile : ajustez leur taille ou expérimentez des couleurs et des comportements.
Ajoutez un Call To Action (CTA)
Maintenant que vos lecteurs peuvent voir tous vos liens au fur et à mesure qu’ils parcourent votre publication, il est temps de leur expliquer pourquoi ils doivent cliquer. C’est là que l’appel à l’action (CTA) entre en jeu ! Un bon CTA donnera à votre public une idée de ce qu’il obtiendra une fois qu’il aura cliqué sur votre lien. Pour ajouter un CTA à un lien externe sur Calaméo, ouvrez votre publication dans l’éditeur Calaméo. Ensuite, sélectionnez l’icône du lien et tapez le CTA dans le champ “Libellé”.
L’exemple ci-dessus montre un CTA adapté pour un lien vers plus d’informations sur un événement. Les lecteurs savent qu’en suivant le lien, ils pourront s’inscrire à l’activité qui les intéresse.
Analysez les résultats
Comprendre quels liens externes ont le CTR le plus élevé peut vous apporter de précieuses informations. Existe-t-il un CTA particulier qui fonctionne mieux qu’un autre ? Peut-être que les liens placés sur une page spécifique ou à un certain endroit reçoivent plus de clics que d’autres. Grâce aux statistiques avancées de notre abonnement PLATINUM, vous avez accès à un éventail détaillé des clics sur vos liens pour chacune de vos publications.
Consultez le nombre de clics sur chaque lien, y compris les éléments audio et vidéo. En plus, le CTR est calculé automatiquement pour vous.
Grâce à ces astuces rapides, vous devriez optimiser vos liens externes et augmenter le CTR de vos publications sur Calaméo. Vous voulez aller encore plus loin pour générer du trafic sur votre site Web ? Consultez notre article sur 5 façons d’augmenter le trafic de votre site web avec Calaméo !
Si vous avez des questions à propos des vos statistiques sur Calaméo, nous pouvons vous aider. Visitez notre Centre d’Aide pour plus d’informations ou écrivez-nous à contact@calameo.com à tout moment.
Connaissez-vous le terme “dark social” ? Même si beaucoup de choses ont changé depuis le début des réseaux sociaux en 2012, le partage “dark social” est de plus en plus important. En effet, ce type de partage pourrait même être une des clés pour comprendre le succès de votre contenu à l’heure actuelle. Poursuivez votre lecture pour savoir pourquoi les partages “dark social” sont si important en 2021 et pour savoir comment le mesurer pour vos publications Calaméo.
Les bases du partage “Dark social”
En 2012, on a commencé à se questionner sur la quantité de contenu qui était partagé sur les réseaux sociaux. Et même sur d’autres canaux. Parce que les réseaux comme Facebook et Twitter étaient en pleine expansion, les boutons de partage sont apparus partout sur le web pour rendre le repartage facile – et traçable.
Mais alors que le nombre de partage a augmenté, ce nouveau comportement ne pouvait pas être la seule façon de partager des vidéos, publications et posts. Malgré le succès des fils d’actualités, la recherche a montré que beaucoup d’internautes partageaient de façon très simple : ils copiaient / collaient l’URL du contenu dans un email ou par message. Contrairement aux partages ordinaires sur les réseaux sociaux, ce type d’activité n’était pas traçable.
Par conséquent, on passe souvent à côté de l’importance du partage “dark social”. Cependant, depuis quelques années, les partages sur les réseaux sociaux ont diminué. Il y a plusieurs raisons à cela, notamment les changements d’algorithmes, l’intérêt grandissant pour plus de confidentialité numérique et des inquiétudes quant à la diffusion de l’information en ligne. Puisque plus du tiers des sociétés déclarent que les “partages sur les réseaux sociaux” sont un objectif pour leurs contenus, ces formes de partages plus difficiles à mesurer doivent être prises en compte.
💡ASTUCE : Vous doutez de l’utilité des partages sur les réseaux sociaux pour vos publications ? Notre liste vous aidera à mettre de l’ordre dans votre stratégie d’édition numérique rapidement !
Comment suivre les partages depuis Calaméo
Comment mesurer le partage “dark social” de votre contenu ? En ce qui concerne vos publications numériques, les statistiques Calaméo sont un bon début. C’est parce que le bouton de partage de notre liseuse a été conçu avec plusieurs utilités en tête. Regardez de plus près et vous pourrez constater d’autres options de partage que les réseaux sociaux.
Encore mieux, la section “Partages” des statistiques Calaméo vous montrera combien de fois vos publications ont été partagées par email, intégrées ou leurs URL copiées. Et le résultat pourrait vous surprendre !
Par exemple, voici les statistiques de notre plus récent Calaméo Magazine :
30% de partages sur les réseaux sociaux
70% de partages “dark social” par email, intégration ou copie de l’URL
Pour accéder aux statistiques de partage de vos publications, allez dans la section « statistiques » de votre compte Calaméo. Cliquez sur l’onglet “partages” et allez vers le bas pour trouver les statistiques complètes.
Aussi, gardez bien en tête que ces chiffres n’indiquent que les partages “dark social” qui viennent de votre publication depuis la liseuse. Vous pouvez être sûr que d’autres lecteurs ont, par exemple, copié / collé l’URL de la publication directement depuis leur navigateur pour partager sur leurs réseaux sociaux.
En d’autres termes, les partages publiques sur les réseaux sociaux ne sont que le partie visible de l’iceberg !
💡ASTUCE : Pour approfondir sur l’impact du partage “dark social” sur vos contenus, vous pouvez utiliser des liens trackés ainsi que Google Analytics pour révéler plus d’informations.
Pour conclure, les statistiques des réseaux sociaux ne vous indiquent pas tout quand vous voulez mesurer comment votre contenu est partagé en ligne. Si vous voulez commencer à mesurer les statistiques complètes des partages de vos publications Calaméo, testez nos fonctionnalités PLATINUM pendant deux semaines gratuitement.
Cela n’a pas pu vous échapper, en graphisme on retrouve la couleur bleue partout. Eh oui, c’est même la couleur la plus utilisée dans les logos ! Alors, du turquoise au saphir, en passant par le cobalt et l’azur : comment expliquer l’omniprésence du bleu dans le design graphique ?
Voici un rapide sommaire des thèmes que nous allons aborder dans cet article :
Redéfinissons tout d’abord la couleur bleue avec exactitude.
Le bleu : une simple couleur primaire ?
On l’apprend très tôt : le bleu est une couleur primaire. Cependant ce n’est pas aussi simple que cela. Si dans la synthèse additive (ou RVB pour Rouge, Vert, Bleu), qui est utilisée pour définir les couleurs diffusées par tous nos écrans, le bleu est effectivement une couleur primaire ; c’est plus précisément la teinte cyan (un bleu-vert) qui est la teinte de bleu primaire dans l’imprimerie (qui utilise la synthèse soustractive ou CMJN pour Cyan, Magenta, Jaune, Noir).
Le bleu à plus d’une teinte à son arc
Le bleu est composé de centaines de teintes : c’est un champ chromatique qui regroupe un grand nombre de nuances se situant entre le vert et le violet.
Bien que le bleu soit considéré comme une couleur froide (par opposition au rouge chaud), les teintes de bleu peuvent être plus ou moins chaudes selon leurs sous-tons. Les sous-tons ce sont les couleurs secondaires mélangées à votre bleu : un peu de vert va donner un bleu canard par exemple.
De plus, la saturation va également jouer un rôle important : d’une teinte terne (bleu-gris) vers une teinte pêchue (bleu franc). Pour finir, c’est aussi la luminosité qui va déterminer votre teinte de bleu : d’une teinte profonde et foncée comme le bleu nuit, vers une teinte claire comme le bleu ciel.
Ainsi, si vous aviez l’habitude de considérer le bleu comme votre couleur préférée, vous êtes en réalité très imprécis, car comme nous venons de le constater, le champ du bleu est très étendu : vous n’aimez sûrement pas autant le bleu marine que le bleu pastel ou le bleu électrique !
💡ASTUCE : Vous avez le choix ! Soyez créatifs quand vous choisissez une teinte de bleu, ne reprenez pas une nuance trop proche de celle de vos concurrents.
Bleu et civilisations : histoire et perceptions
Maintenant que nous avons bien redéfini la couleur bleue, commençons à répondre à notre problématique sur l’omniprésence de cette couleur dans le graphisme en nous attardant un petit moment sur son histoire et son rapport aux civilisations passées et actuelles.
Petite histoire de la couleur bleue
La naissance du « bleu »
Cela va peut-être vous surprendre, mais le bleu ne serait né qu’au Moyen-Age. Avant cela, on n’avait défini ni son nom, ni son concept. En d’autres termes, le champ chromatique du bleu n’était pas une notion qui existait à cette époque-là pour l’être humain. Cela ne veut pas dire qu’il n’existait pas d’objets bleus, mais juste qu’on ne considérait pas le bleu comme une couleur à part entière. Tout ce qui était bleu était décrit avec les couleurs qui existaient alors, comme une teinte de rouge ou de blanc. C’est très difficile à concevoir à notre époque !
Une histoire de pigments
Le bleu se retrouve peu dans la nature, les pigments bleus naturels sont donc rares. En effet, les seuls pigments bleus naturels proviennent de l’indigotier (un végétal), du pastel (un autre végétal) et du lapis-lazuli (un minéral).
Rapidement, les civilisations ont donc créé des pigments bleus synthétiques. Le premier d’entre eux a été inventé par les Egyptiens dans l’antiquité, nommé le Bleu Egyptien. Le bleu de Prusse, le bleu cobalt et le bleu de phtalocyanine sont quelques autres exemples de pigments synthétiques bleus.
Il est intéressant de noter que si le bleu n’avait pas encore de nom, l’être humain semblait déjà fasciné par cette couleur au point d’essayer d’en créer des pigments.
Bleu et perceptions
Perceptions du passé
A notre époque, le bleu est une couleur qui fait partie de notre quotidien, cependant cela n’a pas toujours été le cas. Dans la Rome antique, le bleu était méprisé. Symbole de ridicule ou associé aux barbares : il n’était pas question de porter du bleu.
A partir du Moyen-Age, la couleur prend une connotation divine et on la retrouve sur de nombreuses œuvres d’art religieuses. On comprendra alors qu’elle devienne également la couleur de la monarchie (de droits divins) un peu plus tard.
Finalement, au XXe siècle c’est toute l’humanité qui adopte le bleu avec la mode du blue jean.
Perceptions actuelles
Comme nous venons de le comprendre, selon les époques et les cultures, le ressenti, les sentiments et les connotations associés aux couleurs ne sont pas les mêmes. Prenons le temps d’étudier quelques perceptions actuelles du bleu.
En français, on dit « être fleur bleue » ou encore « avoir une peur bleue », en anglais on peut avoir un sentiment de déprime « to feel blue ». Ainsi, rien que par le langage, le bleu peut nous évoquer plusieurs images différentes.
Voici quelques exemples des différentes perceptions associées au bleu :
Perceptionsuniverselles actuelles
la confiance
la sécurité
l’éternité
le calme
la paix
la liberté
la nostalgie
Perceptions culturelles précises
la noblesse, la royauté : bleu roi, « avoir le sang bleu » (en français)
les ouvriers : « cols bleus », en opposition aux « cols blancs » des employés de bureau
💡ASTUCE : Bien que les ressentis communément associés à la couleur bleu soient le calme et la confiance, il est toujours indiqué de vérifier la perception de chaque teinte que vous comptez utiliser dans vos communications par rapport à votre cible et à sa culture.
Le bleu dans l’art
Nous ne pouvions pas parler du bleu dans le graphisme, sans évoquer d’abord le bleu dans l’art. En effet, c’est dans l’art que le graphisme puise toute son inspiration. Le bleu est une couleur que l’on retrouve dans beaucoup d’œuvres : de La nuit étoilée de Van Gogh à La Grande Vague de Kanagawa de Hokusai, en passant par le Colored Mona Lisad’Andy Warhol.
Ainsi, même si nous n’allons citer que quelques exemples intéressants de l’utilisation du bleu dans l’art ci-dessous, sachez qu’il en existe de nombreux autres.
Le jardin Majorelle
Connaissez-vous ce jardin marocain dont les murs et la villa sont peints dans une teinte bleue, proche du cobalt ? C’est devenu un lieu très connu grâce à sa singularité.
Son propriétaire dans les années 30, le peintre français Jacques Majorelle, est inspiré par Marrakech et crée une villa accompagnée de son jardin botanique. Mais il ne s’arrête pas là, il crée également le « bleu Majorelle » et décide d’en peindre les murs de sa villa.
Ce jardin est une grande source d’inspiration pour les artistes et les créatifs par la suite, notamment pour Yves Saint-Laurent.
💡 A RETENIR: Le bleu peut être utilisé de façons audacieuses, inédites, inattendues et inspirantes.
Yves Klein : le bleu IKB
Attardons-nous maintenant sur un autre inventeur du bleu : Yves Klein. Il est le créateur du bleu IKB, ou International Klein Blue, une teinte proche du bleu outremer. C’est un artiste plasticien qui a utilisé son invention, l’IKB, dans de nombreuses œuvres, notamment en monochrome, c’est-à-dire en n’utilisant que cette teinte.
💡 A RETENIR: L’utilisation du bleu comme marque de fabrique : un bleu unique qui vous rend reconnaissable.
Picasso : la Période Bleue
Notre dernier exemple intéressant de l’utilisation du bleu dans l’art est la Période Bleue de Picasso de 1901 à 1904. Profondément touché par la mort d’un proche, le jeune peintre s’est mis à peindre dans des teintes de bleu pour exprimer son chagrin.
💡 A RETENIR : Les couleurs permettent de relayer des messages et d’exprimer des sentiments.
Le bleu dans le design graphique et l’identité visuelle des marques
Après notre grand panorama théorique sur la couleur bleue qui, nous l’espérons, aura su vous convaincre de son importance ; passons à une étude de la pratique : comment le bleu est-il utilisé par les marques ? Et comment bien l’utiliser dans votre identité de marque et par extension, dans vos publications numériques sur Calaméo.
Puisque le bleu est la couleur préférée du monde entier, il paraît évident que son utilisation dans vos designs est une bonne idée, puisqu’elle va plaire à une très grande partie de vos clients et prospects. De plus, on associe beaucoup de positif à cette couleur : la confiance, la paix, le calme. Votre marque sera donc associée à ces qualificatifs instantanément.
Ainsi, rien que par l’utilisation du bleu dans votre charte graphique le public aura une perception positive de votre marque.
Pour l’expérience utilisateur
Dans le design graphique, il est important de s’attarder sur l’expérience utilisateur et de faire en sorte qu’elle soit la plus agréable possible pour tous. Le bleu étant la couleur la moins altérée par les troubles de la vision des couleurs, c’est un bon choix de couleur pour votre charte graphique.
Exemples de chartes graphiques utilisant le bleu
Pour vous aider à bien utiliser le bleu dans votre identité visuelle et dans vos communications, voici quelques exemples intéressants de l’utilisation du bleu dans des chartes graphiques et les bonnes idées à reprendre.
Ikea : reconnaissable entre tous
Comment passer à côté de l’exemple d’Ikea, deux couleurs fortes qui tranchent et qui donnent une identité visuelle unique et reconnaissable. C’est sûrement le seul magasin de meubles que vous pourrez reconnaître de loin, où que vous soyez dans le monde, grâce à son revêtement extérieur bleu et à son enseigne à lettres jaunes.
💡 A RETENIR : l’association de deux couleurs fortes qui contrastent fortement, comme des couleurs complémentaires par exemple : associez le bleu à des tons orangés ou jaunes.
Ces couleurs si distinctives ont été choisies pour refléter celles du drapeau Suédois. Ce choix renforce l’identité de marque d’Ikea, qui insiste sur son origine : des noms des produits jusqu’aux types de plats proposés dans leurs restaurants, en passant par leur charte graphique.
💡A RETENIR : l’utilisation de couleurs spécifiques pour renforcer votre identité de marque.
Les grands acteurs du web : presque toujours des teintes de bleu
Sur internet, presque tous les logos sont essentiellement bleus. Vous pouvez en voir quelques exemples ci-dessus. Ce qui au début était peut-être un choix stratégique semble s’être transformé en tendance. On peut imaginer que le choix du logo bleu des premières entités sur internet traduisait l’envie d’avoir une image de stabilité et de confiance dans ce nouveau monde virtuel qui paraissait éphémère. Les logos bleus sont maintenant couramment associés aux entreprises de l’informatique et du web.
💡A RETENIR : étudiez vos concurrents et leurs chartes graphiques : s’ils utilisent tous les mêmes codes, il peut y avoir une raison.
Calaméo : le bleu pour souligner
Pour finir, nous tenions à vous parler de notre utilisation du bleu. En effet, bien que le bleu ne soit pas notre couleur principale et qu’elle n’apparaisse pas dans notre logo, nous en avons tout de même une utilisation bien définie. Le bleu nous sert à souligner et faire ressortir les messages importants. Comme vous pouvez l’observer sur notre blog, les liens sont en bleu et ressortent bien.
💡A RETENIR : vous pouvez utiliser une teinte de bleu dans votre charte graphique sans que cela soit une couleur principale. N’hésitez pas à lui donner une fonction précise.
Ainsi, le bleu est utilisé par beaucoup de marques dans leur identité visuelle et il assure des fonctions différentes dans les chartes graphiques de chacune. De couleur principale à couleur d’accent, il s’agira de trouver la meilleure façon d’incorporer cette couleur incontournable dans votre charte graphique pour qu’elle complète votre marque et son identité.
Le bleu est une couleur fascinante : que ce soit par son histoire, ses nombreuses utilisations dans l’art, ou encore par toutes les différentes connotations qui lui sont associées. C’est pour cette raison que le bleu a su s’imposer comme une couleur incontournable dans le design graphique.
N’hésitez pas à y avoir recours dans votre identité visuelle de marque et dans vos publications numériques. Le bleu utilisé avec ingéniosité, dans une nuance originale ou en association avec des teintes inhabituelles, saura vous démarquer tout en vous rendant inoubliable.