Les podcasts sont devenus de plus en plus populaires ces dernières années. De nombreuses personnes lancent le leur pour partager leur passion ou leur expertise avec le monde entier. Cependant, avec autant de podcasts disponibles, il est légitime de se demander s’il est encore une bonne idée de lancer le sien en 2024.
Dans cet article de blog, nous allons examiner les avantages et les inconvénients de lancer un podcast en 2024 pour vous aider à décider si c’est une bonne idée ou non.
Des coûts élevés
L’un des principaux inconvénients de lancer un podcast en 2024 est le coût élevé. Si vous voulez que votre podcast soit de qualité professionnelle, vous devrez investir dans un équipement de qualité, comme des micros, des enregistreurs numériques, des logiciels de montage audio, etc.
De plus, vous devrez peut-être payer un service d’hébergement, ce qui peut être coûteux. Si vous n’avez pas le budget pour investir dans un équipement de qualité ou si vous ne pouvez pas vous permettre de payer pour un hébergeur, lancer un podcast peut ne pas être une bonne idée pour vous.
Une visibilité limitée
Un autre inconvénient de lancer un podcast en 2024 est la visibilité limitée. Comme nous l’avons déjà mentionné, il y a énormément de podcasts disponibles, ce qui signifie qu’il peut être difficile de se faire remarquer. Si vous n’avez pas déjà une base de fans ou une grande communauté en ligne, il peut être difficile de trouver un public pour votre nouveau contenu.
De plus, les plateformes de podcasting telles que Apple Podcasts et Spotify ont des algorithmes qui favorisent les podcasts populaires, ce qui signifie que les nouveaux auront du mal à être trouvés par les auditeurs.
Une opportunités pour se connecter avec un public mondial
Malgré ces inconvénients, lancer un podcast en 2024 peut toujours être une bonne idée pour plusieurs raisons. Tout d’abord, les podcasts offrent des opportunités incroyables pour se connecter avec un public mondial. Les auditeurs du monde entier peuvent trouver et écouter votre podcast, ce qui signifie que vous pouvez toucher un public beaucoup plus large que si vous aviez une émission de radio locale.
De plus, les podcasts sont souvent écoutés par des personnes qui sont passionnées par un sujet spécifique, ce qui signifie que vous pouvez établir une communauté de fans dévoués qui partagent votre passion.
Une grande flexibilité
Un autre avantage de lancer un podcast en 2024 est la flexibilité. Vous pouvez enregistrer votre podcast à tout moment et de n’importe où, ce qui signifie que vous pouvez travailler sur votre podcast autour de votre emploi du temps chargé. Vous pouvez également choisir la durée de votre podcast, ce qui signifie que vous pouvez créer du contenu court et facile à digérer pour les auditeurs qui n’ont pas beaucoup de temps.
Conclusion
Lancer un podcast en 2024 peut être une bonne ou une mauvaise idée. Si vous avez le budget pour investir dans un équipement de qualité et si vous êtes prêt à travailler dur pour vous faire remarquer, lancer un podcast peut être une excellente occasion de se connecter avec un public mondial et de partager votre passion avec le monde entier. Cependant, si vous n’avez pas les moyens ou si vous ne pouvez pas vous permettre de prendre le risque, il peut être préférable de chercher d’autres moyens de partager votre contenu en ligne.
Dans tous les cas, nous vous recommandons, bien évidemment, l’utilisation de Calaméo pour mettre en ligne et partager tous vos contenus pour les transformer en de superbes publications enrichies et partageables.
Avant le début du printemps 2020, beaucoup de monde se demandait à quoi ressemblerait le travail à l’avenir. Les travailleurs sauteraient-ils dans des voitures volantes pour se rendre chaque jour à leur travail, à la manière des Jetsons ? L’automatisation permettrait-elle de ne travailler que quelques heures par semaine ? Les nouvelles technologies en ligne permettraient-elles à de plus en plus de personnes de choisir de travailler à domicile ?
Puis, la pandémie de COVID-19 a frappé le monde entier. De Melbourne à Mexico, des millions de personnes ont vu leurs méthodes de travail transformées du jour au lendemain. Bureaux, magasins, restaurants et écoles ont fermé leurs portes. Pour beaucoup, le travail a dû être effectué à domicile ; pour d’autres, le travail a dû s’adapter à de nouvelles conditions qui évoluaient rapidement.
Bien que les confinements aient pris fin, les énormes changements dans notre façon de travailler n’ont pas disparu. Au contraire, le travail continue de changer – mois après mois, semaine après semaine et même jour après jour. Alors que les gouvernements, les entreprises et les individus s’adaptent au COVID-19, l’avenir du travail n’a jamais semblé aussi incertain. Ou si proche. Lisez ce qui suit pour connaître les principales évolutions à venir.
Le passage au numérique
Au milieu des années 1970, une nouvelle idée à la mode sur l’avenir du travail a vu le jour : le bureau sans papier. À l’époque, un bureau sans papier aurait semblé ridicule. Par exemple, le bureau typique dépendait de mémos, de rapports, de formulaires, de commandes, de factures, de reçus et de correspondance sur papier. Ajoutez à cela les photocopies et vous obtenez une sacrée montagne de paperasse ! Mais les ordinateurs personnels commençaient tout juste à arriver dans les entreprises et, au cours des décennies suivantes, les fichiers, documents et emails ont suivi.
La longue évolution vers un bureau sans papier s’est accélérée en 2020, lorsque les travailleurs se sont isolés. Soudain, le bureau devait être non seulement sans papier, mais aussi entièrement en ligne. Et bien que le concept de travail à distance ait été mieux accepté ces dernières années, peu d’entreprises y étaient complètement préparées. En conséquence, la demande de nouvelles solutions a explosé. Les outils de vidéoconférence, d’édition numérique et de gestion à distance permettent de recréer un bureau en ligne afin que les employés puissent se loguer, rester connectés et travailler en toute sécurité depuis leur domicile.
Malgré un passage souvent brutal au bureau en ligne, le travail à distance semble devoir se prolonger en 2023 et au-delà. Rien qu’aux États-Unis, près de la moitié des travailleurs effectuaient encore une partie de leur travail à domicile à la fin de l’été 2021 ; un sur quatre était entièrement à distance. Des enquêtes récentes suggèrent que plus de 90 % des employés de bureau ne s’attendent pas à retourner à leur bureau à plein temps. En outre, le bureau en ligne a offert des avantages inattendus, au-delà de la sécurité et de la flexibilité. En l’absence de déplacements, les gens ont économisé des milliards d’heures de temps et réduit la pollution.
Communiquer le changement
Cependant, les bureaux ne sont pas les seuls lieux de travail à avoir subi des changements spectaculaires en 2020. La moitié de la population active quitte son domicile pour effectuer son travail, un chiffre qui inclut la catégorie des travailleurs essentiels. Qu’il s’agisse de médecins, d’infirmières, d’agriculteurs ou d’employés d’épicerie, la plupart des gens n’ont eu que peu ou pas d’options pour travailler à domicile. Afin de protéger les travailleurs sur place, tous les types d’employeurs ont dû réagir rapidement. De nouvelles politiques ont renforcé les normes sanitaires, limité les capacités, encouragé la distanciation sociale et exigé des masques.
Et tout au long de l’épidémie, les entreprises ont souvent dû modifier ces politiques à mesure que la pandémie progressait. En raison de l’évolution de la situation, une communication claire est devenue plus importante que jamais. Tout d’abord, les employeurs doivent tenir les travailleurs informés des mesures et règles de protection afin d’assurer la sécurité de tous. Ensuite, les entreprises doivent informer les clients des mesures qu’elles prennent et de ce à quoi ils doivent s’attendre en magasin. Le courrier électronique, les manuels en ligne destinés aux employés et les guides numériques pour les clients sont des moyens essentiels pour communiquer ces informations rapidement et clairement.
En fait, les confinements et les contraintes de capacité ont conduit à une utilisation accrue des outils en ligne dans des domaines « hors ligne » comme l’hôtellerie. Bien qu’Internet soit déjà une activité importante, il y a encore de la place pour la croissance. Par exemple, des restaurants incapables d’accueillir des clients ont publié des menus de plats à emporter sur Internet et des magasins se sont concentrés sur l’amélioration des canaux de vente en ligne. D’autre part, certaines activités traditionnellement réalisées en personne sont devenues totalement virtuelles. Des musées, des conférences et des événements ont tiré parti de la vidéo et des médias interactifs pour créer de nouveaux types d’expériences en ligne.
La recherche de l’équilibre
Dans le contexte de la pandémie, les travailleurs ont été confrontés à de nombreuses nouvelles expériences – et toutes ne sont pas aussi amusantes qu’une soirée dansante virtuelle. Certains doivent faire face à des protocoles de sécurité stricts et parfois difficiles. D’autres se sont isolés en travaillant seuls à la maison pendant des mois. Dans presque toutes les situations, les travailleurs sont confrontés au danger de l’épuisement professionnel. La pression exercée par des changements aussi importants dans la vie quotidienne peut provoquer stress, anxiété et dépression. À l’avenir, l’équilibre entre les nouvelles habitudes et les besoins à long terme sera la clé de l’avenir du travail.
Aujourd’hui, les gens examinent comment le travail s’intégrera dans leur espace de vie et leur mode de vie. Dans de nombreux endroits, les travailleurs s’éloignent des villes pour trouver plus de nature et des maisons plus grandes. Ils cultivent des jardins sur le rebord des fenêtres, installent des bureaux à domicile et créent des espaces communautaires avec leurs collègues et leurs voisins. Il est trop tôt pour dire quelles sont les tendances qui vont perdurer et celles qui vont s’estomper avec le temps. Mais quoi qu’il advienne de la machine à café, on peut parier sur l’importance de maintenir le contact.
En effet, tout le monde s’accorde à dire que les relations sont importantes au travail. Les gens auront toujours besoin de connaître leurs collègues, de comprendre la culture de leur organisation et de rencontrer leurs responsables. En 2020, les travailleurs ont testé un éventail sans précédent de solutions pour accomplir leur travail dans des circonstances difficiles. Alors que les entreprises commencent à faire des choix sur la voie à suivre, elles doivent également réfléchir aux meilleurs moyens de maintenir l’engagement des travailleurs, de garder le contact et de se concentrer sur l’avenir.
En conclusion, vous aurez peut-être besoin d’une boule de cristal pour savoir exactement qui travaillera encore à distance dans quelques années. Cependant, vous pouvez être sûr que le travail est en train de changer. Un travail plus flexible, plus transparent et plus numérique sera probablement un héritage durable de la pandémie de COVID-19. Et pour ce qui est des voitures volantes ? Peut-être en 2040 – ou plus tôt que vous ne le pensez.
Retrouvez cet article dans notre 6e numéro du Calaméo Magazine, ainsi que bien d’autres sur le thème du monde du travail :
Cela n’a pas pu vous échapper, en graphisme on retrouve la couleur bleue partout. Eh oui, c’est même la couleur la plus utilisée dans les logos ! Alors, du turquoise au saphir, en passant par le cobalt et l’azur : comment expliquer l’omniprésence du bleu dans le design graphique ?
Voici un rapide sommaire des thèmes que nous allons aborder dans cet article :
Redéfinissons tout d’abord la couleur bleue avec exactitude.
Le bleu : une simple couleur primaire ?
On l’apprend très tôt : le bleu est une couleur primaire. Cependant ce n’est pas aussi simple que cela. Si dans la synthèse additive (ou RVB pour Rouge, Vert, Bleu), qui est utilisée pour définir les couleurs diffusées par tous nos écrans, le bleu est effectivement une couleur primaire ; c’est plus précisément la teinte cyan (un bleu-vert) qui est la teinte de bleu primaire dans l’imprimerie (qui utilise la synthèse soustractive ou CMJN pour Cyan, Magenta, Jaune, Noir).
Le bleu à plus d’une teinte à son arc
Le bleu est composé de centaines de teintes : c’est un champ chromatique qui regroupe un grand nombre de nuances se situant entre le vert et le violet.
Bien que le bleu soit considéré comme une couleur froide (par opposition au rouge chaud), les teintes de bleu peuvent être plus ou moins chaudes selon leurs sous-tons. Les sous-tons ce sont les couleurs secondaires mélangées à votre bleu : un peu de vert va donner un bleu canard par exemple.
De plus, la saturation va également jouer un rôle important : d’une teinte terne (bleu-gris) vers une teinte pêchue (bleu franc). Pour finir, c’est aussi la luminosité qui va déterminer votre teinte de bleu : d’une teinte profonde et foncée comme le bleu nuit, vers une teinte claire comme le bleu ciel.
Ainsi, si vous aviez l’habitude de considérer le bleu comme votre couleur préférée, vous êtes en réalité très imprécis, car comme nous venons de le constater, le champ du bleu est très étendu : vous n’aimez sûrement pas autant le bleu marine que le bleu pastel ou le bleu électrique !
💡ASTUCE : Vous avez le choix ! Soyez créatifs quand vous choisissez une teinte de bleu, ne reprenez pas une nuance trop proche de celle de vos concurrents.
Bleu et civilisations : histoire et perceptions
Maintenant que nous avons bien redéfini la couleur bleue, commençons à répondre à notre problématique sur l’omniprésence de cette couleur dans le graphisme en nous attardant un petit moment sur son histoire et son rapport aux civilisations passées et actuelles.
Petite histoire de la couleur bleue
La naissance du « bleu »
Cela va peut-être vous surprendre, mais le bleu ne serait né qu’au Moyen-Age. Avant cela, on n’avait défini ni son nom, ni son concept. En d’autres termes, le champ chromatique du bleu n’était pas une notion qui existait à cette époque-là pour l’être humain. Cela ne veut pas dire qu’il n’existait pas d’objets bleus, mais juste qu’on ne considérait pas le bleu comme une couleur à part entière. Tout ce qui était bleu était décrit avec les couleurs qui existaient alors, comme une teinte de rouge ou de blanc. C’est très difficile à concevoir à notre époque !
Une histoire de pigments
Le bleu se retrouve peu dans la nature, les pigments bleus naturels sont donc rares. En effet, les seuls pigments bleus naturels proviennent de l’indigotier (un végétal), du pastel (un autre végétal) et du lapis-lazuli (un minéral).
Rapidement, les civilisations ont donc créé des pigments bleus synthétiques. Le premier d’entre eux a été inventé par les Egyptiens dans l’antiquité, nommé le Bleu Egyptien. Le bleu de Prusse, le bleu cobalt et le bleu de phtalocyanine sont quelques autres exemples de pigments synthétiques bleus.
Il est intéressant de noter que si le bleu n’avait pas encore de nom, l’être humain semblait déjà fasciné par cette couleur au point d’essayer d’en créer des pigments.
Bleu et perceptions
Perceptions du passé
A notre époque, le bleu est une couleur qui fait partie de notre quotidien, cependant cela n’a pas toujours été le cas. Dans la Rome antique, le bleu était méprisé. Symbole de ridicule ou associé aux barbares : il n’était pas question de porter du bleu.
A partir du Moyen-Age, la couleur prend une connotation divine et on la retrouve sur de nombreuses œuvres d’art religieuses. On comprendra alors qu’elle devienne également la couleur de la monarchie (de droits divins) un peu plus tard.
Finalement, au XXe siècle c’est toute l’humanité qui adopte le bleu avec la mode du blue jean.
Perceptions actuelles
Comme nous venons de le comprendre, selon les époques et les cultures, le ressenti, les sentiments et les connotations associés aux couleurs ne sont pas les mêmes. Prenons le temps d’étudier quelques perceptions actuelles du bleu.
En français, on dit « être fleur bleue » ou encore « avoir une peur bleue », en anglais on peut avoir un sentiment de déprime « to feel blue ». Ainsi, rien que par le langage, le bleu peut nous évoquer plusieurs images différentes.
Voici quelques exemples des différentes perceptions associées au bleu :
Perceptionsuniverselles actuelles
la confiance
la sécurité
l’éternité
le calme
la paix
la liberté
la nostalgie
Perceptions culturelles précises
la noblesse, la royauté : bleu roi, « avoir le sang bleu » (en français)
les ouvriers : « cols bleus », en opposition aux « cols blancs » des employés de bureau
💡ASTUCE : Bien que les ressentis communément associés à la couleur bleu soient le calme et la confiance, il est toujours indiqué de vérifier la perception de chaque teinte que vous comptez utiliser dans vos communications par rapport à votre cible et à sa culture.
Le bleu dans l’art
Nous ne pouvions pas parler du bleu dans le graphisme, sans évoquer d’abord le bleu dans l’art. En effet, c’est dans l’art que le graphisme puise toute son inspiration. Le bleu est une couleur que l’on retrouve dans beaucoup d’œuvres : de La nuit étoilée de Van Gogh à La Grande Vague de Kanagawa de Hokusai, en passant par le Colored Mona Lisad’Andy Warhol.
Ainsi, même si nous n’allons citer que quelques exemples intéressants de l’utilisation du bleu dans l’art ci-dessous, sachez qu’il en existe de nombreux autres.
Le jardin Majorelle
Connaissez-vous ce jardin marocain dont les murs et la villa sont peints dans une teinte bleue, proche du cobalt ? C’est devenu un lieu très connu grâce à sa singularité.
Son propriétaire dans les années 30, le peintre français Jacques Majorelle, est inspiré par Marrakech et crée une villa accompagnée de son jardin botanique. Mais il ne s’arrête pas là, il crée également le « bleu Majorelle » et décide d’en peindre les murs de sa villa.
Ce jardin est une grande source d’inspiration pour les artistes et les créatifs par la suite, notamment pour Yves Saint-Laurent.
💡 A RETENIR: Le bleu peut être utilisé de façons audacieuses, inédites, inattendues et inspirantes.
Yves Klein : le bleu IKB
Attardons-nous maintenant sur un autre inventeur du bleu : Yves Klein. Il est le créateur du bleu IKB, ou International Klein Blue, une teinte proche du bleu outremer. C’est un artiste plasticien qui a utilisé son invention, l’IKB, dans de nombreuses œuvres, notamment en monochrome, c’est-à-dire en n’utilisant que cette teinte.
💡 A RETENIR: L’utilisation du bleu comme marque de fabrique : un bleu unique qui vous rend reconnaissable.
Picasso : la Période Bleue
Notre dernier exemple intéressant de l’utilisation du bleu dans l’art est la Période Bleue de Picasso de 1901 à 1904. Profondément touché par la mort d’un proche, le jeune peintre s’est mis à peindre dans des teintes de bleu pour exprimer son chagrin.
💡 A RETENIR : Les couleurs permettent de relayer des messages et d’exprimer des sentiments.
Le bleu dans le design graphique et l’identité visuelle des marques
Après notre grand panorama théorique sur la couleur bleue qui, nous l’espérons, aura su vous convaincre de son importance ; passons à une étude de la pratique : comment le bleu est-il utilisé par les marques ? Et comment bien l’utiliser dans votre identité de marque et par extension, dans vos publications numériques sur Calaméo.
Puisque le bleu est la couleur préférée du monde entier, il paraît évident que son utilisation dans vos designs est une bonne idée, puisqu’elle va plaire à une très grande partie de vos clients et prospects. De plus, on associe beaucoup de positif à cette couleur : la confiance, la paix, le calme. Votre marque sera donc associée à ces qualificatifs instantanément.
Ainsi, rien que par l’utilisation du bleu dans votre charte graphique le public aura une perception positive de votre marque.
Pour l’expérience utilisateur
Dans le design graphique, il est important de s’attarder sur l’expérience utilisateur et de faire en sorte qu’elle soit la plus agréable possible pour tous. Le bleu étant la couleur la moins altérée par les troubles de la vision des couleurs, c’est un bon choix de couleur pour votre charte graphique.
Exemples de chartes graphiques utilisant le bleu
Pour vous aider à bien utiliser le bleu dans votre identité visuelle et dans vos communications, voici quelques exemples intéressants de l’utilisation du bleu dans des chartes graphiques et les bonnes idées à reprendre.
Ikea : reconnaissable entre tous
Comment passer à côté de l’exemple d’Ikea, deux couleurs fortes qui tranchent et qui donnent une identité visuelle unique et reconnaissable. C’est sûrement le seul magasin de meubles que vous pourrez reconnaître de loin, où que vous soyez dans le monde, grâce à son revêtement extérieur bleu et à son enseigne à lettres jaunes.
💡 A RETENIR : l’association de deux couleurs fortes qui contrastent fortement, comme des couleurs complémentaires par exemple : associez le bleu à des tons orangés ou jaunes.
Ces couleurs si distinctives ont été choisies pour refléter celles du drapeau Suédois. Ce choix renforce l’identité de marque d’Ikea, qui insiste sur son origine : des noms des produits jusqu’aux types de plats proposés dans leurs restaurants, en passant par leur charte graphique.
💡A RETENIR : l’utilisation de couleurs spécifiques pour renforcer votre identité de marque.
Les grands acteurs du web : presque toujours des teintes de bleu
Sur internet, presque tous les logos sont essentiellement bleus. Vous pouvez en voir quelques exemples ci-dessus. Ce qui au début était peut-être un choix stratégique semble s’être transformé en tendance. On peut imaginer que le choix du logo bleu des premières entités sur internet traduisait l’envie d’avoir une image de stabilité et de confiance dans ce nouveau monde virtuel qui paraissait éphémère. Les logos bleus sont maintenant couramment associés aux entreprises de l’informatique et du web.
💡A RETENIR : étudiez vos concurrents et leurs chartes graphiques : s’ils utilisent tous les mêmes codes, il peut y avoir une raison.
Calaméo : le bleu pour souligner
Pour finir, nous tenions à vous parler de notre utilisation du bleu. En effet, bien que le bleu ne soit pas notre couleur principale et qu’elle n’apparaisse pas dans notre logo, nous en avons tout de même une utilisation bien définie. Le bleu nous sert à souligner et faire ressortir les messages importants. Comme vous pouvez l’observer sur notre blog, les liens sont en bleu et ressortent bien.
💡A RETENIR : vous pouvez utiliser une teinte de bleu dans votre charte graphique sans que cela soit une couleur principale. N’hésitez pas à lui donner une fonction précise.
Ainsi, le bleu est utilisé par beaucoup de marques dans leur identité visuelle et il assure des fonctions différentes dans les chartes graphiques de chacune. De couleur principale à couleur d’accent, il s’agira de trouver la meilleure façon d’incorporer cette couleur incontournable dans votre charte graphique pour qu’elle complète votre marque et son identité.
Le bleu est une couleur fascinante : que ce soit par son histoire, ses nombreuses utilisations dans l’art, ou encore par toutes les différentes connotations qui lui sont associées. C’est pour cette raison que le bleu a su s’imposer comme une couleur incontournable dans le design graphique.
N’hésitez pas à y avoir recours dans votre identité visuelle de marque et dans vos publications numériques. Le bleu utilisé avec ingéniosité, dans une nuance originale ou en association avec des teintes inhabituelles, saura vous démarquer tout en vous rendant inoubliable.