Les outils de partage de fichiers sont devenus omniprésents dans la vie numérique moderne. Des services comme Dropbox stockent des fichiers sur le cloud et les synchronisent sur différents appareils afin que les utilisateurs puissent partager et collaborer. Cependant, ils ne constituent pas toujours la meilleure option pour distribuer vos documents en ligne.
Dans cet article, nous vous présentons cinq cas de figure pour lesquels les services de partage de fichiers peuvent ne pas être concluants. De plus, découvrez comment l’édition numérique peut offrir une excellente alternative.
Manque de finition
A leurs débuts, la plupart des services de partage de fichiers proposaient un outil permettant aux utilisateurs de travailler sur un seul fichier depuis plusieurs ordinateurs. Pour le travail en équipe tout comme l’utilisation individuelle, le partage de fichiers est associé aux brouillons et aux projets en cours. Ce n’est pas un choix judicieux pour partager un travail abouti. Pour les rapports, les présentations et les newsletters, nous vous recommandons de publier vos documents sous forme numérique pour un résultat plus professionnel.
Pas de statistiques
Qu’il s’agisse de partager des supports de transactions avec un client, de transmettre une note à votre équipe ou de publier un magazine, vous souhaitez sûrement obtenir des informations sur la manière dont votre document est visualisé. En général, les services de partage de fichiers ne fournissent pas de statistiques sur le lectorat. Vous ne saurez donc pas si votre public a ouvert votre document une dizaine de fois ou pas du tout. Pour une solution alternative, optez pour la création d’une publication numérique sur Calaméo : vous obtiendrez des informations sur les vues et une gamme complète de statistiques avancées.
Enrichissement limité
Bien que certains services de partage de fichiers permettent aux utilisateurs d’ajouter des liens externes et des images à leurs documents, les possibilités de création de publications interactives sont limitées. Avec notre Editor, vous pouvez ajouter des liens, de la vidéo, de l’audio et bien plus encore à vos publications, le tout en quelques clics. Ensuite, il ne vous reste plus qu’à partager !
Distribution en privé
Les services de partage de fichiers exigent souvent que les utilisateurs choisissent ou de rendre leurs documents accessibles à tout le monde ou d’approuver uns par uns les lecteurs pour les documents privés. Vous voulez un seul lien privé à envoyer à votre liste de diffusion ? C’est facile avec Calaméo. Sélectionnez simplement «Autoriser l’accès avec une URL privée» dans les propriétés de votre publication. Si vous avez besoin d’une plus grande sécurité, mettez en place une protection par mot de passe pour vos documents grâce à la fonctionalité Abonnés.
Look universel
Comme les solutions de partage de fichiers se concentrent sur la rédaction, l’édition et la modification de documents, elles offrent peu d’options pour adapter l’apparence de votre publication à vos besoins. Les documents publiés numériquement bénéficient d’une liseuse dédiée et sur Calaméo, elle est entièrement personnalisable. Vous pouvez ajouter un logo, changer les couleurs et même ajouter vos propres boutons pour que votre publication corresponde parfaitement à votre marque.
Bien que les services de partage de fichiers soient intéressants pour la collaboration, la publication numérique est un meilleur moyen de partager des documents professionnels et interactifs avec votre public. Vous apprécierez les publications qui ont l’air raffinées, les contrôles de confidentialité intelligents et les statistiques de lecture avancées. Et la meilleure partie ? Publier sur Calaméo est un jeu d’enfant.
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Cela n’a pas pu vous échapper, en graphisme on retrouve la couleur bleue partout. Eh oui, c’est même la couleur la plus utilisée dans les logos ! Alors, du turquoise au saphir, en passant par le cobalt et l’azur : comment expliquer l’omniprésence du bleu dans le design graphique ?
Voici un rapide sommaire des thèmes que nous allons aborder dans cet article :
Redéfinissons tout d’abord la couleur bleue avec exactitude.
Le bleu : une simple couleur primaire ?
On l’apprend très tôt : le bleu est une couleur primaire. Cependant ce n’est pas aussi simple que cela. Si dans la synthèse additive (ou RVB pour Rouge, Vert, Bleu), qui est utilisée pour définir les couleurs diffusées par tous nos écrans, le bleu est effectivement une couleur primaire ; c’est plus précisément la teinte cyan (un bleu-vert) qui est la teinte de bleu primaire dans l’imprimerie (qui utilise la synthèse soustractive ou CMJN pour Cyan, Magenta, Jaune, Noir).
Le bleu à plus d’une teinte à son arc
Le bleu est composé de centaines de teintes : c’est un champ chromatique qui regroupe un grand nombre de nuances se situant entre le vert et le violet.
Bien que le bleu soit considéré comme une couleur froide (par opposition au rouge chaud), les teintes de bleu peuvent être plus ou moins chaudes selon leurs sous-tons. Les sous-tons ce sont les couleurs secondaires mélangées à votre bleu : un peu de vert va donner un bleu canard par exemple.
De plus, la saturation va également jouer un rôle important : d’une teinte terne (bleu-gris) vers une teinte pêchue (bleu franc). Pour finir, c’est aussi la luminosité qui va déterminer votre teinte de bleu : d’une teinte profonde et foncée comme le bleu nuit, vers une teinte claire comme le bleu ciel.
Ainsi, si vous aviez l’habitude de considérer le bleu comme votre couleur préférée, vous êtes en réalité très imprécis, car comme nous venons de le constater, le champ du bleu est très étendu : vous n’aimez sûrement pas autant le bleu marine que le bleu pastel ou le bleu électrique !
💡ASTUCE : Vous avez le choix ! Soyez créatifs quand vous choisissez une teinte de bleu, ne reprenez pas une nuance trop proche de celle de vos concurrents.
Bleu et civilisations : histoire et perceptions
Maintenant que nous avons bien redéfini la couleur bleue, commençons à répondre à notre problématique sur l’omniprésence de cette couleur dans le graphisme en nous attardant un petit moment sur son histoire et son rapport aux civilisations passées et actuelles.
Petite histoire de la couleur bleue
La naissance du « bleu »
Cela va peut-être vous surprendre, mais le bleu ne serait né qu’au Moyen-Age. Avant cela, on n’avait défini ni son nom, ni son concept. En d’autres termes, le champ chromatique du bleu n’était pas une notion qui existait à cette époque-là pour l’être humain. Cela ne veut pas dire qu’il n’existait pas d’objets bleus, mais juste qu’on ne considérait pas le bleu comme une couleur à part entière. Tout ce qui était bleu était décrit avec les couleurs qui existaient alors, comme une teinte de rouge ou de blanc. C’est très difficile à concevoir à notre époque !
Une histoire de pigments
Le bleu se retrouve peu dans la nature, les pigments bleus naturels sont donc rares. En effet, les seuls pigments bleus naturels proviennent de l’indigotier (un végétal), du pastel (un autre végétal) et du lapis-lazuli (un minéral).
Rapidement, les civilisations ont donc créé des pigments bleus synthétiques. Le premier d’entre eux a été inventé par les Egyptiens dans l’antiquité, nommé le Bleu Egyptien. Le bleu de Prusse, le bleu cobalt et le bleu de phtalocyanine sont quelques autres exemples de pigments synthétiques bleus.
Il est intéressant de noter que si le bleu n’avait pas encore de nom, l’être humain semblait déjà fasciné par cette couleur au point d’essayer d’en créer des pigments.
Bleu et perceptions
Perceptions du passé
A notre époque, le bleu est une couleur qui fait partie de notre quotidien, cependant cela n’a pas toujours été le cas. Dans la Rome antique, le bleu était méprisé. Symbole de ridicule ou associé aux barbares : il n’était pas question de porter du bleu.
A partir du Moyen-Age, la couleur prend une connotation divine et on la retrouve sur de nombreuses œuvres d’art religieuses. On comprendra alors qu’elle devienne également la couleur de la monarchie (de droits divins) un peu plus tard.
Finalement, au XXe siècle c’est toute l’humanité qui adopte le bleu avec la mode du blue jean.
Perceptions actuelles
Comme nous venons de le comprendre, selon les époques et les cultures, le ressenti, les sentiments et les connotations associés aux couleurs ne sont pas les mêmes. Prenons le temps d’étudier quelques perceptions actuelles du bleu.
En français, on dit « être fleur bleue » ou encore « avoir une peur bleue », en anglais on peut avoir un sentiment de déprime « to feel blue ». Ainsi, rien que par le langage, le bleu peut nous évoquer plusieurs images différentes.
Voici quelques exemples des différentes perceptions associées au bleu :
Perceptionsuniverselles actuelles
la confiance
la sécurité
l’éternité
le calme
la paix
la liberté
la nostalgie
Perceptions culturelles précises
la noblesse, la royauté : bleu roi, « avoir le sang bleu » (en français)
les ouvriers : « cols bleus », en opposition aux « cols blancs » des employés de bureau
💡ASTUCE : Bien que les ressentis communément associés à la couleur bleu soient le calme et la confiance, il est toujours indiqué de vérifier la perception de chaque teinte que vous comptez utiliser dans vos communications par rapport à votre cible et à sa culture.
Le bleu dans l’art
Nous ne pouvions pas parler du bleu dans le graphisme, sans évoquer d’abord le bleu dans l’art. En effet, c’est dans l’art que le graphisme puise toute son inspiration. Le bleu est une couleur que l’on retrouve dans beaucoup d’œuvres : de La nuit étoilée de Van Gogh à La Grande Vague de Kanagawa de Hokusai, en passant par le Colored Mona Lisad’Andy Warhol.
Ainsi, même si nous n’allons citer que quelques exemples intéressants de l’utilisation du bleu dans l’art ci-dessous, sachez qu’il en existe de nombreux autres.
Le jardin Majorelle
Connaissez-vous ce jardin marocain dont les murs et la villa sont peints dans une teinte bleue, proche du cobalt ? C’est devenu un lieu très connu grâce à sa singularité.
Son propriétaire dans les années 30, le peintre français Jacques Majorelle, est inspiré par Marrakech et crée une villa accompagnée de son jardin botanique. Mais il ne s’arrête pas là, il crée également le « bleu Majorelle » et décide d’en peindre les murs de sa villa.
Ce jardin est une grande source d’inspiration pour les artistes et les créatifs par la suite, notamment pour Yves Saint-Laurent.
💡 A RETENIR: Le bleu peut être utilisé de façons audacieuses, inédites, inattendues et inspirantes.
Yves Klein : le bleu IKB
Attardons-nous maintenant sur un autre inventeur du bleu : Yves Klein. Il est le créateur du bleu IKB, ou International Klein Blue, une teinte proche du bleu outremer. C’est un artiste plasticien qui a utilisé son invention, l’IKB, dans de nombreuses œuvres, notamment en monochrome, c’est-à-dire en n’utilisant que cette teinte.
💡 A RETENIR: L’utilisation du bleu comme marque de fabrique : un bleu unique qui vous rend reconnaissable.
Picasso : la Période Bleue
Notre dernier exemple intéressant de l’utilisation du bleu dans l’art est la Période Bleue de Picasso de 1901 à 1904. Profondément touché par la mort d’un proche, le jeune peintre s’est mis à peindre dans des teintes de bleu pour exprimer son chagrin.
💡 A RETENIR : Les couleurs permettent de relayer des messages et d’exprimer des sentiments.
Le bleu dans le design graphique et l’identité visuelle des marques
Après notre grand panorama théorique sur la couleur bleue qui, nous l’espérons, aura su vous convaincre de son importance ; passons à une étude de la pratique : comment le bleu est-il utilisé par les marques ? Et comment bien l’utiliser dans votre identité de marque et par extension, dans vos publications numériques sur Calaméo.
Puisque le bleu est la couleur préférée du monde entier, il paraît évident que son utilisation dans vos designs est une bonne idée, puisqu’elle va plaire à une très grande partie de vos clients et prospects. De plus, on associe beaucoup de positif à cette couleur : la confiance, la paix, le calme. Votre marque sera donc associée à ces qualificatifs instantanément.
Ainsi, rien que par l’utilisation du bleu dans votre charte graphique le public aura une perception positive de votre marque.
Pour l’expérience utilisateur
Dans le design graphique, il est important de s’attarder sur l’expérience utilisateur et de faire en sorte qu’elle soit la plus agréable possible pour tous. Le bleu étant la couleur la moins altérée par les troubles de la vision des couleurs, c’est un bon choix de couleur pour votre charte graphique.
Exemples de chartes graphiques utilisant le bleu
Pour vous aider à bien utiliser le bleu dans votre identité visuelle et dans vos communications, voici quelques exemples intéressants de l’utilisation du bleu dans des chartes graphiques et les bonnes idées à reprendre.
Ikea : reconnaissable entre tous
Comment passer à côté de l’exemple d’Ikea, deux couleurs fortes qui tranchent et qui donnent une identité visuelle unique et reconnaissable. C’est sûrement le seul magasin de meubles que vous pourrez reconnaître de loin, où que vous soyez dans le monde, grâce à son revêtement extérieur bleu et à son enseigne à lettres jaunes.
💡 A RETENIR : l’association de deux couleurs fortes qui contrastent fortement, comme des couleurs complémentaires par exemple : associez le bleu à des tons orangés ou jaunes.
Ces couleurs si distinctives ont été choisies pour refléter celles du drapeau Suédois. Ce choix renforce l’identité de marque d’Ikea, qui insiste sur son origine : des noms des produits jusqu’aux types de plats proposés dans leurs restaurants, en passant par leur charte graphique.
💡A RETENIR : l’utilisation de couleurs spécifiques pour renforcer votre identité de marque.
Les grands acteurs du web : presque toujours des teintes de bleu
Sur internet, presque tous les logos sont essentiellement bleus. Vous pouvez en voir quelques exemples ci-dessus. Ce qui au début était peut-être un choix stratégique semble s’être transformé en tendance. On peut imaginer que le choix du logo bleu des premières entités sur internet traduisait l’envie d’avoir une image de stabilité et de confiance dans ce nouveau monde virtuel qui paraissait éphémère. Les logos bleus sont maintenant couramment associés aux entreprises de l’informatique et du web.
💡A RETENIR : étudiez vos concurrents et leurs chartes graphiques : s’ils utilisent tous les mêmes codes, il peut y avoir une raison.
Calaméo : le bleu pour souligner
Pour finir, nous tenions à vous parler de notre utilisation du bleu. En effet, bien que le bleu ne soit pas notre couleur principale et qu’elle n’apparaisse pas dans notre logo, nous en avons tout de même une utilisation bien définie. Le bleu nous sert à souligner et faire ressortir les messages importants. Comme vous pouvez l’observer sur notre blog, les liens sont en bleu et ressortent bien.
💡A RETENIR : vous pouvez utiliser une teinte de bleu dans votre charte graphique sans que cela soit une couleur principale. N’hésitez pas à lui donner une fonction précise.
Ainsi, le bleu est utilisé par beaucoup de marques dans leur identité visuelle et il assure des fonctions différentes dans les chartes graphiques de chacune. De couleur principale à couleur d’accent, il s’agira de trouver la meilleure façon d’incorporer cette couleur incontournable dans votre charte graphique pour qu’elle complète votre marque et son identité.
Le bleu est une couleur fascinante : que ce soit par son histoire, ses nombreuses utilisations dans l’art, ou encore par toutes les différentes connotations qui lui sont associées. C’est pour cette raison que le bleu a su s’imposer comme une couleur incontournable dans le design graphique.
N’hésitez pas à y avoir recours dans votre identité visuelle de marque et dans vos publications numériques. Le bleu utilisé avec ingéniosité, dans une nuance originale ou en association avec des teintes inhabituelles, saura vous démarquer tout en vous rendant inoubliable.
Chez Calaméo, nous connaissons bien le marketing de contenu. En effet, nous le côtoyons tous les jours, car nous vous accompagnons dans l’hébergement et le partage de tous vos contenus. Nous en créons aussi nous-même beaucoup et de toutes sortes, comme notre Calaméo Magazine, par exemple. Et c’est grâce à cela que nous pouvons vous présenter aujourd’hui les 5 erreurs à éviter dans vos stratégies de marketing de contenu.
Ces 5 erreurs sont très fréquentes, et peuvent, malheureusement, être un réel frein à l’efficacité de vos contenus. Il est donc important de les éviter.
Erreur n°1 : Ne pas avoir de stratégie
La première erreur, que beaucoup commettent à leurs débuts avec le marketing de contenu, est de ne pas avoir de stratégie.
En effet, une stratégie solide est la base de toute création de contenu. Si vous n’avez pas réfléchi et adapté votre stratégie à votre marque et à vos objectifs, vous allez vous épuiser à créer du contenu pour rien. Pour vous donner une image claire : c’est comme un coup d’épée dans l’eau.
Sans objectifs définis, ni ligne directrice, vous n’arriverez nulle part, car il est impossible d’atteindre des buts non-définis. Et c’est bien dommage, car le marketing de contenu, comme une épée, peut s’avérer un outil très puissant quand on sait le manier.
Il vous faudra donc bien travailler à la fois vos stratégies digitales et marketing, puis vous assurer que votre stratégie de marketing de contenu les respecte et les amplifie au maximum. En réalité, la création de contenu fait partie du domaine du marketing stratégique, et il est important que toutes vos stratégies soient alignées et travaillent dans le même sens et dans le même but.
Quelques-uns des éléments à définir dans votre stratégie de marketing de contenu :
Vos objectifs : améliorer l’image de marque, booster votre trafic, augmenter votre visibilité, etc.
Vos cibles : qui voulez-vous atteindre avec vos contenus ?
Vos statistiques à suivre : nombre de followers, taux de clics, etc. Il va vous falloir décider des statistiques à suivre pour mesurer le succès (ou non) de votre stratégie et pouvoir l’affiner à tout moment.
Vos canaux : réseaux sociaux, site, magazine, e-mailing, blog, YouTube, etc.
Vos types de contenus : articles, podcasts, vidéos, photos, MOOC, livestreams, infographies, newsletter, etc.
Votre calendrier éditorial : quand publiez-vous ? A quelle fréquence ?
🔎 En bref : c’est seulement une fois tous ces éléments bien définis et en accord avec votre marque que vous pourrez créer et diffuser vos contenus efficacement.
Si c’est une bonne idée de garder un œil sur vos concurrents, ce n’en est pas une de copier leurs contenus. Votre marque et les leurs ont nécessairement des différences, et c’est ce que vous devez mettre en avant auprès des consommateurs pour les convaincre d’acheter chez vous, plutôt que chez les autres.
Inspirez-vous, mais ne copier pas. Si vous repérez un article de blog proposé par un concurrent, qui est intéressant et qui fonctionne bien, reprenez l’idée de fond et faites-en votre version, à l’image de votre marque. Apportez quelque chose de plus au sujet abordé, et rendez vos contenus uniques pour vous démarquer.
Copier toute la stratégie digitale de votre concurrent est également à éviter. Si elle fonctionne pour eux, c’est parce qu’elle a été étudiée pour coller à leur marque et à leurs objectifs, et non aux vôtres. Encore une fois, il est essentiel de bien travailler votre propre stratégie, comme évoqué dans le premier point de cet article.
Erreur n°3 : Ne pas tenir de calendrier de contenu
La troisième grande erreur à ne pas faire est de ne pas tenir de calendrier de contenu.
Le calendrier de contenu est un document important de toute stratégie de marketing de contenu. Grâce à lui, vous pouvez retrouver tout ce qui a été mis en ligne et tout ce qui le sera dans le futur.
Sans ce guide, il est très facile de se perdre et de passer des semaines entières à créer du contenu pour rattraper un retard, ou alors de ne rien avoir à poster pendant une longue période.
Or, pour que votre stratégie fonctionne, il faut être constant et poster à intervalle régulier. Il est donc essentiel de tenir à jour votre calendrier de contenu. Réfléchissez à l’avance au type de contenu que vous aimeriez proposer à votre audience et adaptez la chaîne de création en conséquence. Tout doit être réglé comme du papier à musique : en commençant par décider à quel moment, quel contenu, doit être créé et publié.
🔎 Pour bien démarrer : votre calendrier de contenu doit inclure notamment la date de publication, les canaux de publication, le type de contenu, l’idée général, le texte associé et les liens à ajouter.
Erreur n°4 : Ne pas créer ses contenus à l’avance
Couplé à l’erreur numéro 3, voici sûrement l’erreur que tous les créateurs de contenu font à leurs débuts : ne pas créer ses contenus à l’avance.
En effet, si vous n’avez pas créé de calendrier de contenu et si vous ne le tenez pas à jour, il sera très dur de créer vos contenus à l’avance. Or, la création de contenu à l’avance est cruciale, car il faut pouvoir publier de façon continue. Cela vous permet de pouvoir garder l’attention des consommateurs et de créer une audience fidèle à votre marque.
Créer vos contenus à l’avance est la clé pour vous permettre de tenir la cadence et d’avoir toujours quelque chose à publier. De plus, puisque c’est une activité très chronophage, il est plus simple de créer plusieurs contenus à la fois, de réserver des temps spécifiques à la création de contenu, et d’autres à la mise en ligne.
Encore une fois, la stratégie est donc cruciale puisqu’elle vous permettra de mettre en place des workflows efficaces et qui vous permettent de créer la quantité idéale pour votre marque et ses ambitions.
🔎 En bref : mettez en place de moments dédiés à la création de contenu. Le plus « confortable » est de toujours avoir 1 mois d’avance.
Erreur n°5 : Ne pas (encore) utiliser Calaméo
Et voilà une dernière erreur que vous pouvez facilement corriger : ne pas (encore) utiliser Calaméo.
C’est effectivement une erreur, car Calaméo est un vrai atout pour vos stratégies de contenu. Non seulement, vous pouvez publier facilement vos documents en ligne, mais en plus les enrichir, les partager et les intégrer à tous vos sites.
Calaméo vous accompagne également longtemps après la création et la publication de vos contenus, car il vous permet de suivre les statistiques de chacun de vos contenus publiés sur la plateforme.
Ainsi, profitez des nombreuses fonctionnalités proposées par Calaméo, réfléchies pour vous spécifiquement, les créateurs de contenu, et boostez votre stratégie en quelques clics seulement.
🔎 C’est simple : créez votre compte Calaméo gratuitement dès maintenant en cliquant ici.